photo Festival SPRING : Et la mer s'est mise à brûler

Festival SPRING : Et la mer s'est mise à brûler

Cirque - Marionnette, Nature - Environnement

Les Pieux 50340

Le 15/03/2025

FICTION ACROBATIQUE ET CINÉMA-GRAPHIQUE Deux demi-frères se rencontrent pour la première fois aux funérailles de leur père, disparu en mer. Sido n’a pas connu son père. Il ne sait même pas à quoi il ressemblait. Il n’a qu’une idée en tête : mettre une image sur cet homme qui l’a abandonné enfant. À cette occasion, il fait la connaissance de Rémi, un petit frère à la tête brûlée, aussi bizarre que pot-de-colle. Entre fantasmes et flash-backs, les deux jeunes hommes partent à la recherche de leurs racines pour mieux comprendre qui est ce fantôme qui les relie malgré eux. Et la mer s’est mise à brûler est une pièce de cirque de récit, qui questionne le lien fraternel, le deuil et l’écueil de la virilité à un âge où l’on verrouille ses peurs, son cœur et ses émotions. Durée : 1h - dès 9 ans - Au Podium, Les Pieux Partenariat avec La Brèche, Pôle National Cirque de Normandie

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Exposition > "Alternance chromatique" de Christian Le Saint

Exposition, Photographie - Vidéo

Saint-Lô 50000

Du 01/10/2021 au 25/10/2021

Rendez-vous du 1er au 25 octobre prochain dans la galerie de l'Hôtel de ville de Saint-Lô, pour l'exposition "Alternance chromatique" de Christian Le Saint. « Dès mon plus jeune âge je me suis intéressé à figer la lumière et l'ombre au travers de mes dessins ainsi que par le biais de mes diverses expériences de boîte noire. J'ai toujours essayé d'arrêter le temps en l'annexant à l'image ... Cette seconde nature me provient certainement de l'admiration que j'entretiens à ce que la vie nous offre au quotidien. Je me souviens de mes toutes premières photographies, elles représentaient un lieu qui reste même aujourd'hui, à mes yeux, tout aussi idyllique qu'auparavant, notre capitale : Paris. Déjà je déambulais au travers des rues à la recherche de l'instant qui, une fois figé pourrait susciter aux autres curiosité, amusement,joie, tristesse, mélancolie ... bref une émotion particulière. Dès lors j'ai songé : bien que notre chemin soit parsemé d'embûches, rien n'est plus merveilleux que de provoquer des sensations par quelque chose d'inanimé. Cette persévérance m'a aidé dans l'obtention en mars 2008 d'un premier Prix européen grâce à l'une de mes réalisations représentant[...]

photo Maxime Le Forestier

Maxime Le Forestier

Concert, Spectacle, Musique contemporaine, Musique

CHERBOURG-EN-COTENTIN 50100

Le 13/11/2021

Quand on lui pose la question « qu’est-ce qui vous pousse à écrire ? » Maxime Le Forestier répond du tac au tac « l’envie de chanter ! ». « Paraître ou ne pas être », son 16ème album, est composé de dix chansons acoustiques, une tonalité folk dépouillé et un esprit Brassens, des textes percutants et un regard toujours aussi vif sur notre société. Discret comme à son habitude, il pointe l’asphyxie d’une nature en souffrance « ça déborde », le vain souci de l’image « paraître », les peurs d’une France déboussolée « la vieille dame » ou encore le pesant bavardage des réseaux « des ronds dans l’air ». Maxime Le Forestier est accompagné de Manu Galvin et Arthur Le Forestier aux guitares, Sebastien Quezada aux percussions et Etienne Roumanet à la contrebasse. Pas d’arrangements orgueilleux, pas de grands gestes orchestraux. Pas trop de paraître. Un souffle de sérénité. En première partie, Alf & BG : deux guitares, deux voix et des bons mots.

photo Maxime Le Forestier

Maxime Le Forestier

Musique

Cherbourg-en-Cotentin 50100

Le 13/11/2021

Quand on lui pose la question « qu’est-ce qui vous pousse à écrire ? » Maxime Le Forestier répond du tac au tac « l’envie de chanter ! ». « Paraître ou ne pas être », son 16ème album, est composé de dix chansons acoustiques, une tonalité folk dépouillé et un esprit Brassens, des textes percutants et un regard toujours aussi vif sur notre société. Discret comme à son habitude, il pointe l’asphyxie d’une nature en souffrance « ça déborde », le vain souci de l’image « paraître », les peurs d’une France déboussolée « la vieille dame » ou encore le pesant bavardage des réseaux « des ronds dans l’air ». Maxime Le Forestier est accompagné de Manu Galvin et Arthur Le Forestier aux guitares, Sebastien Quezada aux percussions et Etienne Roumanet à la contrebasse. Pas d’arrangements orgueilleux, pas de grands gestes orchestraux. Pas trop de paraître. Un souffle de sérénité. En première partie, Alf & BG : deux guitares, deux voix et des bons mots.